Archives mensuelles : décembre 2017

Débat ouvert : Pour retrouver de l’ambition, prenons notre appétit au sérieux !

Quand : Samedi 16 décembre 2017, de 17h30 à 19h00

Où : Parvis de la Basilique de Saint-Denis, Métro Saint-Denis Basilique (ligne 13)

Vous êtes jardinier, maraicher, arboriculteur, éleveur, pépiniériste, chercheur, paysagiste, enseignant, animateur pédagogique, cuisinier, restaurateur, transformateur, épicier, transporteur, livreur… et seriez prêts à voir ensemble comment étendre la culture, la connaissance, la diffusion de semences, plants, légumes, fleurs… de variétés paysannes, pour ne plus se résigner à développer des initiatives trop isolées face à la hauteur des défis alimentaires et environnementaux, et à ceux qui participent à la privatisation du vivant et des moyens de production ?

Alors cette rencontre, et la campagne « Graines d’un Paris d’avenir »* dans laquelle elle s’inscrit, est faite pour vous, pour en parler avec Graines del Païs, un réseau d’artisans semenciers lié à l’OPASE.

En savoir plus : http://www.minga.net/graines-dun-paris-davenir-pour-retrouver-de-lambition-prenons-notre-appetit-au-serieux/

Relayez l’événement : https://www.facebook.com/events/298386217339461/?active_tab=about

* Une campagne menée sur la métropole parisienne par l’association Minga, l’OPASE et l’Alliance des cuisiniers de Slow Food France pour promouvoir et développer le métier d’artisan semencier.

Minga est une organisation d’acteurs professionnels et citoyens engagés dans la production d’une économie de proximité et de qualité, au niveau local comme international. Ensemble, dans la diversité de leurs métiers, de leurs activités et de leurs statuts, les membres de Minga posent la question du travail, des solidarités et des droits à renforcer pour l’articuler aux questions sociales, écologiques et démocratiques de notre temps. Leurs divers engagements ont pour commune ligne d’horizon l’alinéa 3, article 23, de la déclaration universelle des droits de l’Homme: «Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.»