Les installations des bordures de parcelles ont commencé au Jardin des Nouzeaux. Le jardin sera recoupé en zones de travaux, chaque zone installera les bordures le même jour pour économiser personnes et matériel. Un membre du CA sera présent pour indiquer les éventuelles modifications de traçage à faire (pour harmoniser la taille des parcelles).
Zone 1: parcelles 66 à 72 samedi 29 février de 10h – 12h plus 1 quart de la rosace – au fond à droite (depuis l’entrée du jardin)
Zone 2: parcelles 1 à 9 dimanche 01 mars de 14h – 16h
Pour les zones à venir, un doodle sera envoyé par Jana aux adhérents concernés (à priori le weekend du 7 et 8 mars zone 3 surement plus zone 4 ou bien 5 selon la disponibilité des adhérents).
Zone 3: parcelles 58 à 65 plus 1 quart de la rosace (au fond à gauche)
Zone 4: parcelles 10 à 15
Zone 5: parcelles 16 à 23 plus 1 quart de la rosace (devant droite)
Zone 6: parcelles 24 à 27 plus 1 quart de la rosace (devant gauche)
Zone 7: parcelles 32 à 39
Zone 8: la dernière allée restante Si tout se passe comme prévu, les bordures pourront être terminées fin mars.
Les 27, 28 et 29 septembre prochains, Saint-Jean invite tous les amateurs de jardin à venir partager un moment convivial et familial lors de sa Fête des Plantes d’Automne. Rencontrer les meilleurs pépiniéristes producteurs européens, récolter leurs précieux conseils et acquérir leurs plus beaux végétaux, telles sont les promesses de cet événement incontournable ! Arbres, arbustes, bulbeuses, graminées, grimpantes, rosiers et vivaces rares, mobilier, décoration, accessoires, vêtements, artisanat, près de 250 professionnels de l’horticulture et de l’art de vivre au jardin exposeront leurs plantes et créations.
Les plantes d’exception seront mises à l’honneur tout au long de cette édition automnale. Les best-sellers et immanquables de ces trente-cinq dernières années seront de nouveau sur les stands, à disposition des nostalgiques comme des curieux. Les indispensables du passé, du présent et du futur se côtoieront pendant trois jours et permettront à tout un chacun de créer son jardin.
Un rendez-vous horticole unique à trente minutes au sud de Paris.
Visites guidées, vente de plantes, ateliers de
rempotage, etc : les serres municipales de Malakoff ouvrent au public
toute la journée du samedi 11 mai 2019, à partir de 8h.
Les amateurs de jardinage et de plantes vertes
auront le loisir de découvrir différentes espèces avec les conseils
avisés de spécialistes. Au programme également, plusieurs animations
gratuites avec Le triporteur musical, promenade en calèche, ateliers
pour enfants, etc.
Le temps a filé et j’ai failli oublier de vous parler de la nouvelle serre dont nous disposons désormais au jardin des Nouzeaux ! N’hésitez pas à y entreposer vos semis si besoin.
Un grand merci aux personnes qui ont réalisé le montage de cette serre située au bout de notre allée.
Retrouvez-nous au jardin partagé des Nouzeaux pour une animation inédite avec Magdalena Vicente (artiste circassienne) et Sylvain Frydman (clarinettiste) !
La ville de Malakoff souhaite accompagner et rythmer le projet de requalification urbaine du quartier Henri Barbusse. En partenariat avec le Plus Petit Cirque du Monde et l’Ensemble Fa7, compagnie en résidence au conservatoire de Malakoff, une action artistique intitulée Circoncerto/Mon quartier se transforme est menée depuis novembre 2018 auprès de deux classes de l’école élémentaire Barbusse. La forme de cette action mêle exploration de l’espace, rencontre entre musiciens, circassiens et se décline sous plusieurs formes et configurations autour du thème de la transformation.
Ce projet prévoit également la mise en place dans différents espaces du quartier de trois courtes représentations d’un duo circassien-musicien de 10 à 15 minutes qui prendront la forme d’un « commando artistique ». Deux de ces interventions auront lieu le week-end du 27 avril :
– le samedi 27 avril à 11h place Léo Figuères lors de la tenue du marché.
– le dimanche 28 avril à 15h au jardin partagé des Nouzeaux.
lL’ARB Île-de-France a le plaisir de vous inviter à rencontrer Françoise Serre-Collet, herpétologue (spécialiste de reptiles et d’amphibiens), chargée de médiation scientifique en herpétologie au sein du service du Patrimoine naturel du Muséum national d’Histoire naturelle à Paris. Françoise Serre Collet est l’auteure du livre Sur la piste des reptiles et des amphibiens dans la collection Muséum « L’amateur de Nature » paru aux éditions Dunod en 2013, d’une collection éditée par QUAE comprenant Dans la peau des serpents de France (2016), Grenouilles, crapauds et Cie (2017) et Dans la peau des lézards de France (octobre 2018). Elle vient de publier dans une toute autre collection 50 idées fausses sur les serpents en février 2019. Jeudi 18 avril 2019, de 19h00 à 21h00 Halle Pajol – Auberge de Jeunesse Yves Robert 18/22 ter, rue Pajol – 75018 (Métro Marx-Dormoy)
Avec le mois d’avril, arrivent le printemps et la reprise du jardinage autour de vos vivaces.
Face à l’inquiétante diminution des populations d’abeilles, nous avons tous les moyens d’agir. À commencer par ce que nous choisissons de planter dans notre jardin …
Si les abeilles disparaissaient de la surface du globe, l’être humain n’aurait plus que quatre années à vivre, dit-on. Aujourd’hui, nous y sommes, les abeilles sont véritablement en danger. L’une des principales causes ? L’usage outrancier des pesticides. Alors, pour sauver ce qui le reste encore, pensez aux abeilles avec ces plantations.
Les abeilles ont plus que jamais besoin de nous. Si elles venaient à disparaître, c’est tout l’écosystème de la planète qui serait profondément bouleversé. De vraies menaces pèsent désormais sur elles : les pesticides, la disparition des fleurs et des plantes à butiner sont autant de pressions qui rendent si fragiles ces pollinisateurs indispensables à la vie.
Et si vous changiez la donne en plantant des fleurs et des plantes
mellifères ? Un geste tout simple, mais qui peut faire une sacrée
différence dans la vie de ces infatigables ouvrières.
Précision qui a son importance : faites pousser vos fleurs avec vos
propres graines ou privilégiez l’achat de fleurs bio. Le but est
d’éviter d’exposer les abeilles aux pesticides. De plus, toutes les
fleurs et les plantes ne se valent pas sur le plan nutritif.
Voici donc quelques idées de plantations qui feront leur bonheur : la lavande, le thym, la coriandre, le perce-neige, le coquelicot, la bourrache, le fenouil, la sauge, le crocus, la renoncule des champs, le géranium, la marguerite, le bleuet, le calendule-souci, le dahlia, l’aster, le myosotis, le zinnia, le cosmos, le tournesol, l’héliotrope.
Nous profitons de cet article pour vous recommander la lecture de l’excellent livre de Yves Darricau intitulé « planter des arbres pour les abeilles : l’api-foresterie de demain ».
C’est magnifiquement simple : nous allons chambouler la France en y plantant des graines par dizaines de millions. Nous comptons bien fleurir en même temps des milliers de lieux. Des bords de chemin ou de canaux, les abords des mairies et de tous les lieux de pouvoir, des toits pourquoi pas, des places, placettes et même ronds-points, des entrées et des sorties de villes, des promenades, des parcs et des jardins, des esplanades, tout ce que vous voudrez et imaginerez. Qu’on se le dise, aucune ville, aucun village ne doivent être épargnés. Car il s’agit de créer ensemble des îlots de rêve, des surfaces provisoires où la beauté sera à nouveau reine. Mais que va-t-on planter? Eh bien des coquelicots, pardi! Mais pas que; toute graine locale que vous aurez sous la main fera l’affaire. Vous verrez dans une petite vidéo comment notre ami Philippe Desbrosses parle du miracle des coquelicots. Attention, attention, attention! 2019 ne sera qu’un galop d’essai, car la consécration attendra 2020. Cette année, compte tenu de délais très courts, plantez où vous pourrez ce que vous trouverez qui poussent près de chez vous: des graines d’orge ou de blé, des bleuets, des coquelicots bien sûr, mais aussi bien des tournesols ou des courges. Notre but est limpide: essaimer ensemble, et montrer ce que nous sommes et ce que nous voulons. Les obstacles à notre projet sont immenses, mais où serait notre plaisir si tout nous était donné? Sachez que nous attendons une réponse définitive d’une ville symbole, qui serait une grande surprise. Et vous pouvez et devez faire de même auprès des centaines de communes où se déroulent les rassemblements mensuels des Coquelicots. Le moment venu, avec un peu et beaucoup de chance, nous aurons réalisé un chef-d’œuvre éphémère dont on parlera dans la moindre chaumière. Il ne reste plus qu’un détail : s’y mettre sans tarder.
A vos semis, prêts, partez!
Sentons-nous libres, ce fleurissement tient plutôt de l’embellissement du monde et de l’enracinement local que de l’évènement botanique.
Nous sommes des activistes joyeux: montrez quel monde nous voulons et affirmez que nous ne céderons plus un pouce de terrain!
En vue de faire de grandes choses en 2020, cette année prenons nos
marques. Plantons dans des lieux symboliques et visibles: devant les
mairie, les écoles, les routes passantes et les rond-points. Mais aussi –
pourquoi pas – sur des lieux à défendre. Comme des terres agricoles
vouées à la construction, et donc à la destruction. Ouvrons le champ des
possibles et donnons-nous, commune par commune, des objectifs. Pourquoi
ne pas consacrer l’un de nos rendez-vous au grand choix des lieux à
fleurir?
Il y a les coquelicots, bien sûr. Jolis coquelicots. Et il y a les
autres messicoles, celles que l’on appelle aussi les «fleurs des champs»
et qui se mêlent sans dommage aux céréales. Il y a aussi les graciles
tournesols. Ou les courges coureuses. Ou les bourraches accueillantes.
Tout est bon…
Et si ça ne pousse pas bien, si l’on piétine vos semailles ou si le climat détraqué réduit vos espoirs à néant? Alors nous fleurirons nos vies avec des centaines et des milliers de fleurs en papier, en carton, en fil de fer.
Organiserez-vous une fête des semailles, en présence de votre
correspondant de presse local? Les enfants seront-ils conviés, par une
après-midi ensoleillée, à semer leurs graines ou à confectionner des ‘bombes à graines’?
Peut-être convergerez-vous vers le rond-point à l’entrée du village? A
la tombée de la nuit, par exemple, quand sort la hulotte ou lorsque
votre petite bande de Coquelicots du village aura fini sa journée de
travail? Peu importe.
Agir et faire, c’est ça l’important.
A ceux qui n’ont ni les pouces, ni les mains vertes, on a réservé quelques conseils (voir plus bas), puisés aux meilleures sources. Et à l’automne prochain, quand il s’agira de semer à nouveau, nous serons vraiment prêts, les poches pleines des graines récoltées à l’été. ATTENTION. Gardez en tête que les élections municipales approchent et qu’à compter du 1er septembre 2019, les mairies seront tenues à une période de réserve électorale qui rendra moins faciles, voire impossibles, certaines démarches, notamment pour les associations. Nouez des liens avant la dormance municipale…
Le mot d’ordre de Philippe Desbrosses, pionnier de l’agriculture biologique et fondateur de la ferme de Sainte-Marthe: osez!
Ils sèment avec nous
Quelques conseils inspirés d’Arnaud Darsonval, de la ferme de Ste Marthe
Les terrains fraîchement remués, les champs cultivés en céréales… c’est
le terreau propice au coquelicot, qui est une plante messicole et
colonisatrice. Il aime se loger le long des haies ou des bords de
chemins, des talus et des terrains vagues. Il apprécie les sols frais,
bien pourvus en eau, sable et argile, et contenant du calcaire et des
éléments nutritifs.
Le semis est possible à l’automne pour floraison de mai à fin juin ; au
printemps pour floraison en juin/juillet. Pour préparer le sol au semis,
vous pouvez ratisser ou gratter la surface du terrain concerné, tasser
la terre avec le dos de votre outil. Arroser ensuite le terrain en pluie
fine afin d’humidifier la terre.
Disperser à la volée vos graines de coquelicot, quitte à les mélanger à
du sable sec pour bien les disperser avec un mélange de céréales. Une
fois les graines semées, reprenez votre râteau pour ratisser et aplanir à
nouveau la terre. Terminez enfin par un arrosage. Veillez à maintenir
la terre humide jusqu’à la levée des coquelicots.
Les graines photosensibles germent lorsqu’elles sont près de la surface du sol. Mais attention la germination est quasi impossible à une profondeur excédant 1 à 1,5 cm.
Un pied de coquelicot peut produire jusqu’à 50.000 graines, qui gardent leur capacité de germination dans le sol pendant au moins 5 à 8 ans. Certains auteurs pensent même qu’elles peuvent rester dormantes dans le sol plus de 80 ans!
Avec un sachet de 1.000 graines, vous allez pouvoir coloniser un espace de 1 à 2 mètres carrés, qui permettra ensuite à la nature de faire son travail de dissémination. Les coquelicots se ressèment naturellement d’une année sur l’autre.
Pas de coquelicot sans graine. Nous avons sollicité une série de
semenciers bio, qui nous proposent leur contribution au grand
fleurissement. Par-delà différences et divergences, que tous soient
vivement remerciés pour leur engagement auprès des Coquelicots. De quoi
doter tout votre entourage de semences, que vous pourrez offrir dans les
jolis paquets griffés aux couleurs des Coquelicots que nous a envoyés Claire, d’Arcueil.
Les offres de chacun sont publiées au fur et à mesure sur le site.
Semence Bio (à commander à partir du 23 avril sur leur site)
sachets de graines de coquelicot des champs
sachets de jachère fleurie
Rendez-nous les bleuets, les nielles, les biforas, les buplèvres et autres camélines! Parce que l’on protège mieux ce que l’on connaît bien, Tela Botanica a crée en 2016 l’Observatoire des messicoles. L’association, qui offre à tous des outils numériques au service d’une meilleure connaissance des plantes, mêle ses connaissances à la cause de ‘Nous voulons des coquelicots’, pour vous offrir un guide d’identification de 40 espèces messicoles.